Philippe Echaroux : des bancs de l'école au musée
In fine (Paris)
Et le monde devint un musée. L’art numérique, le cinéma et le street art se retrouvent ici pour faire de l’art numérique un art monumental qui habite la ville et les paysages. Mais l’art de Philippe Echaroux est aussi un art de la rencontre dans lequel la vie et les gens viennent occuper l’œuvre d’art. Une proposition de ré-enchantement du monde que l’on aimerait vivre en direct.
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Résumé
« Je n’ai pas de problème avec les règles, je préfère simplement dessiner à main levée. » Philippe Echaroux « “Je voulais proposer un art doux dans sa forme mais terriblement impactant.” » Philippe Echaroux est un artiste urbain qui transperce les murs, les dématérialise. Délaissant les bombes aérosol, il use de la lumière pour projeter ses graffitis et ses portraits photographiques sur les architectures et plus encore dans la nature. Les arbres sont ainsi le nouveau support sur lequel il projette les messages et les portraits des habitants d’un territoire, nous invitant à réfléchir à la place de l’homme dans son environnement. Ephémères, ses oeuvres sont régies par la temporalité du cycle journalier, ne se laissant voir que la nuit. Illicite sans être vandale, cet art urbain est toujours respectueux de la nature et partant, de l’homme qui en est une composante indissociable. » Cyrille Gouyette Avec une préface de Nathalie Simon.
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